10/12/30 |
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J'utilise ma chèvre pour retourner "Paprika", le Doris 17 qu'Olivier a réalisé avec moi en "construction accompagnée". En effet, les chuttes de neige à répétition de cette fin d'année rendent aléatoires les déplacements et nous avons décidé que je ferai seul le vernis, après qu'Olivier ait terminé la peinture sur l'extérieur de la coque. |
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J'ai quelques doutes sur la charge de rupture de ma chèvre, mais elle est clairement au-delà des 70 kg du Doris 17 dans sa configuration "voile". |
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Avant de vernir, il faut poncer la dernière couche d'époxy, et je dois dire que j'ai un peu hésité à sortir "Paprika" pour poncer dehors... Il fait 1°C ce 22 décembre, et la neige fond avec modération, en attendant la prochaine couche... Je ne me plains pas car Clairoix n'a jamais été bloqué par les congères, à la différence de bon nombre de villages des environs, qui ont passé un réveillon de Noël un peu particulier... |
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Une fois le ponçage fini, je me dépèche de rentrer le Doris 17 à l'intérieur, où il fait encore 4°C, et cela fait une différence réelle ! |
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La surface en est à l'étape "loukoum", et je vais maintenant passer l'aspirateur pour ramasser toute cette poussière d'époxy. |
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J'hésite à ressortir pour la dernière phase, qui est le rinçage à grande eau, afin d'éliminer la poussière fine que l'aspirateur n'a pas réussi à décoller de la surface, car entretemps la température a baissé et il gèle de nouveau. |
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Le nouveau Doris 17 rejoint l'ancien dehors, où il fait maintenant -1°C, ce qui est fâcheux car je dois maintenant rincer la surface à grande eau, comme annoncé plus haut... |
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La différence essentielle entre les deux Doris 17 est dans les bancs : ils font partie intégrante de la structure sur le nouvveau, alors qu'ils sont rapportés (et en pin) sur l'ancien : gain de simplicité et de poids net de 2 kg pour le nouveau. |
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Et voilà ce que cela donne après 4 couches de vernis PU bi-composant. J'arrive à chauffer rapidement la zone fermée sous la mezzanine, ce qui me permet de travailler confortablement. Le vernis polyuréthane durcit sans contrainte de température, alors que les résines époxy que j'utilise ont besoin de chaleur (au-dessus de 15°C) pour durcir dans de bonnes conditions. Le froid ralentit leur "mûrissement" et produit du "blush" en surface. |
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Les 3 images suivantes nous viennent de Richard, qui construit un Skerry dans le Béarn. |
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Les tuiles sont lourdes... et Richard s'en sert pour presser le collage de ses fausses quilles : une centrale entre l'étrave et le puits de dérive, et deux latérales. |
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Et voilà ! L'intérêt de ces fausses quilles est de protéger (un peu) la coque des frictions avec le sol : la peinture du fond durera ainsi plus longtemps. |
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Et voici pour finir le Bateau Berceau, dont j'avais commencé la construction fin 2009 et que j'ai enfin terminé tout récemment. Je m'associe à Adam pour vous envoyer tous les voeux d'Arwen Marine pour une heureuse année 2011 ! |
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