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Ouverture du puits de dérive : nous venons de percer deux trous à travers la sole sur le tracé de l'ouverture à réaliser, que nous avions préparé avant la stratification. Nous allons maintenant relier ces deux trous par deux traits de scie sauteuse, puis nous utiliserons la défonceuse pour "finir" cette ouverture. |
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Nous utilisons successivement deux fraises à guide (ou à copier) avec la défonceuse : d'abord une fraise droite, afin d'aligner le bord de l'ouverture sur le bord intérieur des parois du puits, puis une fraise en quart de rond pour arrondir l'arête de l'ouverture. |
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Nous poursuivons par un ponçage géréral de la surface extérieure |
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Nous collons des bouts de tasseaux de sapelli de part et d'autre de la tête de la dérive afin de la bloquer en position basse. Nous avons éliminé la "poignée" de la dérive standard que nous remplacerons par un simple cordage passé à travers deux trous, afin de pouvoir ramer lorsque la dérive sera en place. |
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Nous collons la "semelle" sous l'aileron.
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Nous vissons-collons l'encornat sur chacune des bômes, qui ont déjà reçu une couche d'époxy comme tous les autres espars. |
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Collage des "joues" de tête de gouvernail. |
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Saturation des bandes de renfort latérales de l'aileron.
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Puis nous commençons à nous occuper du gréement : d'abord la drisse. |
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Démonstration du noeud de pêcheur, utilisé sur la bôme pour le capelage du palan d'amure et pour l'écoute. On l'utilise aussi bien pour mettre bout à bout deux cordages que pour fermer une boucle comme ici. |
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Le capelage de la poulie basse du palan d'écoute passe à travers le bas du puits de dérive et à travers l'arrière du siège milieu. Un mousqueton permet de le libérer instantanément lorsque l'on dégrée la voile.
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Essai du palan d'amure à 4 brins : on n'insiste jamais assez sur l'importance d'avoir toujours une amure bien raidie sur les voiles au tiers. |
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On y est presque ! |
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Opération capitale : Je fais les joints entre le dessous des sièges et le haut des cloisons. Sur l'image, c'est le joint du siège avant, on voit que je suis en train de finir de le lisser à la cuiller, et je dois encore nettoyer l'excédent d'époxy chargée de part et d'autre du joint. Ces joints renforcent l'assemblage et assurent (ou au moins renforcent) l'étanchéité des caissons avant et arrière, qui constituent les réserves de flottabilité du Skerry.
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Nous terminons la journée en posant les bandes de fibre de verre sur l'arête de l'ouverture du puits de dérive et en passant la dernière couche d'époxy sur l'extérieur de la coque. |
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