Début août 2012 à Bréhat |
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Cette photo prise depuis le cockpit arrière montre la cellule centrale autour du puits de dérive avec le plancher rehaussé de part et d'autre, qui reprend les efforts de la dérive sur les cotés et ferme le réservoir de ballast liquide. Plus en avant, le petit cockpit au pied du mât descend jusqu'à la sole (15 centimètres plus bas) et des équipets sont aménagés sont les bancs latéraux. Devant le mât, un grand coffre étanche est accessible par un panneau de grande ouverture à plat pont. Le cockpit arrière, où se tient le barreur est similaire à celui de lavant, sauf que les équipets sont remplacés par des compartiments étanches fermés par des trappes rondes de 8 pouces. Un coffre étanche occupe la pointe arrière avec le même accès qu'à l'avant. |
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Cette photo montre le passage du phare du Paon, à la pointe nord de Bréhat, que l'on voit également sur l'image précédente, le même jour : étrange comme le ciel peut être différent en fonction de l'angle de prise de vue. Cliquez pour voir la vidéo. |
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Toujours au phare du Paon, en repassant dans l'autre sens. Cliquez pour voir la vidéo.
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J'ai profité d'une journée clame pour "presser" un jeune équipage afin de réaliser les tests de flottabilité et de redressement de mon "Gandalf". Cliquez sur l'image pour voir les photos et les vidéos. |
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Petit tour à proximité de la plage avec Adam, à gauche, Susan et Loïc : voyez comme la hauteur des banquettes est pile-poil à la taille pour Adam . Evidemment, pour Loïc c'est un peu haut, mais il faut bien caser les 132 litres du ballast liquide... |
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Passage au pied de l'îlot de Morbic dans le nord-est de l'île de Bréhat. L'îlot est relié à l'île de Bréhat par un cordon littoral qui ne découvre que peu de temps autour de la pleine mer, et c'est toujours un plaisir étonnant de passer le seuil dans quelques centimètres d'eau, qui prend facilement des allures de torrent à cause du courant de marée. On ne le voit dans ma petite vidéo, mais on y voit un virement de bord très très près des cailloux (voyez la couleur de l'eau !) |
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"Gandalf" au mouillage pour une courte pause sur une grève de la côte est de l'île privée de Béniguet, à l'est de Bréhat. |
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Je me mouille pour vous (ce fut d'ailleurs mon seul bain de l'été, je préfère les douches) pour obtenir cet audacieux angle de prise de vue. |
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Grand-voile à un ris en vue de la bonne brise qui nous attend à quelques centaines de mètres, dès que nous serons sortis de la dévente sous Béniguet. |
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"Gandalf" au mouillage dans l'anse de la Corderie. On aperçoit le Kerenoc derrière lui. |
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Séance de photos avant de prendre le chemin du retour vers l'atelier. Le "pêche-promenade" que l'on aperçoit perché dans les cailloux a largué son mouillage à la pleine mer de la plus grande marée de ce début d'août, et il va donc rester près de deux semaines sur son caillou à regarder passer les bateaux plus sérieusement amarrés... Notez que ma vergue en bois, cassée lors du test de chavirage, est remplacée par les trois mètres du haut d'un vieux mât de planche à voile. |
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Quelques jours plus tôt, j'ai pu passer tout droit devant à cet endroit à la pleine mer... |
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L'étonnante stabilité de "Gandalf" me donne l'assurance de rester assis sous le vent. |
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Cette vue plongeante montre l'aménagement intérieur de "Gandalf", organisé autour de la cellule centrale du puits de dérive. |
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"Gandalf" lancé au près sur une eau bien plate avec un vent de force 2 à 3 dans les risées. La misaine est impeccable, assez plate, avec très peu de dévers. |
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Au portant, j'ai un peu choqué la bordure afin de creuser la voile. |
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Au près bon plein, la vitesse est étonnante, comme le montre la vague d'étrave. |
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Petit coup de gîte sous une risée, on voit par l'angle de barre que je laisse légérement loffer pour soulager; au cas où la risée serait plus soutenue que prévu. |
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Passage au portant entre les paquets de goëmon accrochés sur les bancs de cailloux. Je suis debout car je viens d'empanner. Cette vue de profil montre la hauteur de la vague arrière. Lancé plein pot, j'ai pu voir cette vague remonter presque à la hauteur de la guirlande, à quelques dizaines de centimètres derrière le bateau : dommage qu'il ne puisse pas planer... |
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Je me penche pour relever à fond la dérive, puis pour la rebaisser à mi-course, afin de la débarrasser du goêmon cueilli au passage. |
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Passage au petit largue en loffant pour repasser au près. |
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Et nous revoici au près bon plein. |
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Un léger coup de gîte découvre le haut du bordé 1. |
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Même angle de gîte sur l'autre amure. La vague d'étrave a l'air de s'inviter à bord, mais il n'en est rien, je n'ai que très rarement embarqué d'eau, et seulement quand il y avait du clapot en plus de la gîte, ce sont le crêtes qui embarquent. |
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Pour certains bateaux, l'hivernage n'a hélas plus d'interruption estivale, comme on le voit pour ce malheureux Ponant à l'arrière-plan... |
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Joli éclairage et joli arrière-plan pour cette image de "Gandalf" lancé à fond dans la risée. |
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Encore un bon coup de gîte sous une risée, on voit que je choque l'écoute en même temps que je loffe. Notez que ma vergue recyclée est bien souple, ce qui applatit la voile et ouvre la chute, et donc allège d'autant la pression sur la voile. Ma nouvelle vergue en bois sera de section inférieure à l'ancienne ! |