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Images des activités en cours à l'atelier

13/06/11

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Je termine enfin la finition de la Prame d'Eastport qui m'a été commandée comme annexe pour un Schpountz. Sur cette image, je viens de fixer la bande-molle en profilé de laiton sous l'aileron.

 

Et oui, c'est bien la Méditerrannée que l'on aperçoit à l'arrière-plan de cette image. Du fait de mon retard dans la construction de cette Prame d'Eastport, je me vois contraint d'aller la livrer à Port-Leucate, plus de 1800 km aller-retour dans la journée... Et en plus, le temps était trop mauvais pour rapporter des photos des essais de la prame !

 

En parallèlle de cette excursion peu touristique, j'ai passé quelques jours à préparer un kit de PassageMaker Dinghy en vue de sa construction accompagnée avec Charles.

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Samedi 1er juin, Charles et son père Philippe arrivent à 9h à l'atelier et nous démarrons cette construction accompagnée sur les chapeaux de roue par la couture des panneaux de coque. La sole et les deux bordés 1 sont posés sur deux tréteaux et on commence à passer et nouer les sutures de fil de cuivre.

 

Pour répondre à une question qui m'est souvent posée, il est très facile de cinter les bordés afin qu'ils prennent la courbure requise, car le contreplaqué marine okoumé de 6 mm que nous utilisons est assez fin et la mise en place des sutures de fil de cuivre suffit à cintrer les panneaux.

 

Sur les quatre paires de bordés, nous en cousons deux avant de mettre en place les cloisons avant et arrière, qui vous nous aider à définir la forme de la coque. Deux mortaises coupées dans la sole pour chacune de ces cloisons permet de les positionner sans chercher. C'est l'une des améliorations récentes de ce kit, l'autre étant le pré-perçage de tous les trous des sutures.

         
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Je n'ai malheureusement que très peu de photos de cette phase spectaculaire (on part d'un tas de "planches" en deux dimensions et en quelques heures on l'a transformé en bateau!) car j'étais trop immergé dans l'action pour sortir l'appareil photo.

 

Sur cette photo de Dominique, je perce de nouveaux trous pour les sutures de la marotte, déja en place, car les trous pré-percés du kit sont un peu trop proches de l'extrémité des panneaux (sole et bordés 1) et il est un peu délicat de suturer la marotte de sorte à ce qu'elle s'inscrive à l'intérieur des extrémités des panneaux, sur tout son pourtour.

 

Cette autre photo de Dominique est un gros plan sur le nettoyage de l'excès d'époxy chargée sur les bords du joint-congé autour du tableau arrière. En effet, une fois la couture terminée, nous enchaînons avec le collage, en commençant par ce joint-congé et celui de la marotte.

         
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Cette troisième photo de Dominique (venu observer le début d'une construction de kit dans l'idée de se construire un Skerry) montre que nous avons ensuite retourné la coque et injectons à la seringue de l'époxy chargée dans tous les joints entre les panneaux.

 

Le lendemain matin (dimanche), nous avons remis la coque à l'endroit et Philppe et Charles sont occupés à couper toutes les sutures de fil de cuivre et de laiton (nous sommes tombés en panne de fil de cuivre et avons donc continué au fil de laiton) afin de les extraire. Seuls celles qui sont autour du tableau arrière et de la marotte, et se trouvent donc collés dans les joints-congés des extrémités de la coque refuseront de "venir". Nous couperons les récalcitrants au ras de la surface et ils resteront donc dans le bateau.

 

Gros plan sur les sutures extraites. On voit très bien la différence entre le laiton jaune et le cuivre orange. L'expérience montre que le cuivre est un peu plus ductile que le laiton, et donc préférable pour cette utilisation.

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Nous avons aussi démonté toutes les cloisons afin d'avoir un meilleur accès pour la suite du travail sur la surface intérieure. Le collage et la forme combinée des panneaux de coque suffisent à maintenir celle-ci en forme. Philippe et Charles découpent les ouvertures des trappes de visite des futurs caissons étanches dans les cloisons avant et arrière.

 

Nous avons ensuite fait les joints intérieurs entre les panneaux de coque et bouché tous les trous des sutures, puis nous passons à la stratification de la surface intérieure de la sole et des bordés 1. Pour répondre à une autre question fréquente, cette stratification se limite au fond du bateau, intérieur et extérieur, car c'est la zone où elle est la plus utile. Etendre la stratification à l'ensemble de la surface intérieure ajouterait du poids sans avantage structurel réel.

 

Philippe et Charles utilisent la "squeegee", raclette plastique, pour étaler et faire pénétrer la résine dans le tissu de verre.

   

 

   
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L'excédent de tissu de verre au-delà des bordés 1 ne sera pas saturé d'époxy, nous le couperons au cutter sur le joint entre les bordés 1 et 2. Nous laisserons durcir l'époxy pendant 2 à 3 heures avant d'ajouter au rouleau une seconde couche d'époxy afin de "remplir la trame" du tissu de verre.

 

Le lendemain (jour 3), nous avons repercé les trous des sutures des cloisons qui ont été obturés par la stratification et re-cousu celles-ci en place. Notez que nous avons posé un bout de tasseau tenu par des pinces sur le haut de la cloison centrale afin de la rigidifier. Nous avons aussi positionné le puits de dérive et le pied de mât, car nous allons coller toutes ces pièces pendant la même séance.

 

Nous venons de passer au rouleau une couche d'époxy sur toute la surface intérieure, y-compris les surfaces verticales des cloisons, et nous commençons le collage par le joint-congé sur la face intérieure de la cloison arrière. Nous venons de déposer un "colombin" d'époxy chargée dans l'angle.

   

 

   
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Le joint-congé est ensuite lissé à l'aide d'un outil hyper sophistiqué : la cuiller en plastique. C'est un outil étonnant d'efficacité, à condition de maîtriser les angles de travail. Il ne restera plus après cela qu'à racler l'excédent d'époxy chargée qui se trouve repoussé par la cuiller de part et d'autre du joint-congé.

 

Le puits de dérive et le pied de mât sont vissés à travers la sole avant leur collage, et un joint-congé de grand rayon est fait au pied du puits de dérive. Lorsque tous les joints-congés verticaux sont faits, nous encollons les chants horizontaux des cloisons et du puits de dérive et posons les sièges en place. Les bidons exercent le peu de pression nécessaire à leur tenue. Nous faisons ensuite des joints-congés le long de tous les points de contacts des sièges avec les bordés.

 

Nous avons posé une béquille à l'avant tribord qui se trouvait légèrement vrillé vers le bas.

   

 

   
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En effet, c'est notre dernière chance d'agir sur un vrillage éventuel, car nous venons d'ajouter toute la structure intérieure en une seule séance, ce qui va "vérouiller" définitivement la forme de la coque.

 

Jour 4 : nous retournons le PassageMaker Dinghy afin de "nettoyer" les collages entre les panneaux de coque que nous avions faits au soir de la première journée. Nous allons aussi boucher tous les trous des sutures sur l'extérieur (comme nous l'avons fait sur l'intérieur) et refaire une seconde couche d'époxy chargée sur ces joints.

 

Charles termine de boucher les trous des sutures de la marotte.

   

 

   
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Pour laisser un peu le temps de durcir à l'époxy que nous venons de mettre sur la coque, nous passons au rabotage des espars.

 

Charles crée au rabot quatre petites facettes complémentaires pour passer la section de son mât du carré à l'octogone.

 

En milieu d'après-midi, l'époxy des joints et du bouchage des trous des sutures a assez durci pour nous permettre de passer à la stratification de l'extérieur de la coque. Comme sur l'intérieur, nous ne stratifions que la sole et les deux bordés qui la jouxtent. L'excédent de tissu de verre (surtout à l'avant) sera coupé.

   

 

   
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Pour l'extérieur, nous utilisons le rouleau au lieu de la squeegee, on finit avec moins d'époxy dans les chaussettes... Je trouve la squeegee très agréable sur les surfaces planes ou concaves, mais le rouleau est plus pratique sur les surfaces convexes. Comme pour l'intérieur, nous laissons un peu durcir l'époxy avant de passer au rouleau une couche de remplissage de la trame.

 

Jour 5 : Nous avons commencé par poncer la stratification, puis nous avons ouvert le puits de dérive à travers la sole. Nous avons ensuite posé des bandes de fibre de verre sur les cotés de cette ouverture afin de la renforcer, puis nous avons fixé les fausses-quilles et l'aileron. Nous avons d'abords arrondi les extrémités et les arêtes des baguettes de sapelli qui constituent les fausses quilles, puis nous les avons fixées avec une vis à chaque extrémité, en plus du collage à l'époxy chargée. Nous avons aussi collé l'aileron, temporairement tenu par des bandes d'adhésif.

 

Gros plan sur les petits joints-congés sur les cotés des fausses-quilles, les bandes de renfort en fibre de verre sur l'ouverture du puits de dérive, et sur les gros joints-congés de l'aileron.

   

 

   
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Nous avons laissé durcir l'époxy de ces collages pendant que nous travaillions sur les espars, la dérive, le safran et la tête de gouvernail. Nous avons ensuite soigneusement retourné la coque sans déranger l'aileron ou les fausses-quilles, puis nous avons collé les deux plis des listons en même temps.

 

Nous avons aussi collé les courbes verticales qui se trouvent dans l'angle du siège avant et du bas de la marotte, et celle qui joint le tableau au siège arrière, visible sur l'image précédente.

 

Jour 6 : Nous commençons par arraser les listons à la ponceuse à bande : nous éliminons ainsi les excédents d'époxy chargée et mettons à niveau les deux plis des listons et le contreplaqué du haut du carreau. Nous passerons ensuite un coup de défonceuse avec une fraise en quart de rond sur son arête extérieure et un coup de cale à poncer sur son arête intérieure.

   

 

   
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Nous avons ensuite fait l'essayage du mât afin de régler l'épaisseur des cales d'étambrai et de pied, puis nous avons passé une couche d'époxy sur les listons. Nous avons ensuite de nouveau retouné la coque pour passer au rouleau une couche complète d'époxy sur toute la surface, ainsi que sur les espars.

 

Jour 7 : Nous procédons à l'installation de l'accastillage et nous testons la voile au tiers. Nous démontons ensuite l'accastillage pour poncer les listons, qui n'ont reçu qu'une couche d'époxy, et passer la seconde.

 

Jour 8 : Chargement et départ du PassegeMaker Dinghy, cap sur Granville !

   

 

   
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Rodolphe m'envoie les trois images suivantes de la construction de son Mill Creek 16.5, près de Clermont-Ferrand.

 

Rodolphe a remplacé l'hiloire de cockpit en contreplaqué okoumé par des lattes d'iroko.

 

Et il a habillé les trappes en plastique de ces jolis couvercles à poignée. Magnifique construction, que l'on a hâte de voir sur l'eau!

         
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Le 25 mai, c'était la fête du nautisme et j'ai répondu avec Gandalf à l'invitation de Lionel pour naviguer sur le plan d'eau de Vaires en proche banlieue est de Paris dans une boucle de la Marne. Lionel était là avec son Aber, de même que Pierre (sans son Thema), que l'on aperçoit ici à la barre de Gandalf.

 

Le plan d'eau de Vaires est assez grand pour être intéressant et pourrait présenter une alternative plus proche que le lac d'Orient pour un futur rassemblement Arwen Marine ou pour le prochain Championnat d'Europe des Skerry, par exemple (je dis ça et je ne dis rien...)

 

J'ai échangé Gandalf à Lionel contre son Aber pour quelques bords.

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Le vent n'est pas très établi mais quelques belles risées permettent de tirer des bords intéressants.

 

J'ai profité de l'occasion pour tester la nouvelle remorque de route de Gandalf.

 

Dominique m'envoie une jolie image de son Doryplume dans les parages hospitaliers de Bréhat.

         
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Christophe m'envoie cette superbe image du baptème de son Wood Duck 12 Hybride "Capitaine Haddock", aperçu au lac d'Orient avant son baptème officiel. Christophe nous écrit : "Nous avons atteint  la phase la plus importante de la construction du kayak: la fête arrosée... La mare au fond du jardin est à peine plus grande que le kayak..."

 

J'ai "piqué" les 8 images suivantes de Ronan C. sur Facebook. Ces photos datent de vendredi 7 juin, veille de la 9e édition de la Route du Sable. Cette vue est prise sur la cale de Lanvéoc, point de départ du prologue qui doit rallier Landevennec. C'est le Skerry "Chasse-Marée" que l'on aperçoit sur la grêve.

 

Depuis l'édition de l'an dernier, Ronan organise un prologue sur la rade de Brest le vendredi, sachant que la Route du Sable "officielle" démarre le samedi après-midi sur l'Aulne en aval de Chateaulin. Regardez bien cette image : non seulement il n'y a pas de vent, mais en plus il pleut... Ce sont "Chasse-Marée" et le Pirmil "Thema".

         
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Didier aux avirons sur "Chasse-Marée" toujours, avec le "Divergont" d'un autre Didier à l'arrière-plan.

 

Magnifique image de "Chasse-Marée" dans la lumière particulière d'une journée pluvieuse...

 

Encore une jolie image de "Chasse-Marée". Didier a enlevé son bonnet, ce qui semble indiquer qu'il ne pleut plus...

         
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Magnifique composition pour cette image de "Divergont" en lente approche sur une grosse balise flottante.

 

Arrivée verspérale à Landevennec pour sortir les bateaux. C'est le "An Treizh" de Ronan que l'on aperçoit au premier plan.

 

Juste derrière la pointe de Landevennec, le spectaculaire cimetière marin accueille les bateaux réformés par la Marine Nationale, en attendant une hypothétique remise en service ou une plus probable démolition.
Je vous laisse regarder la suite des superbes photos de Ronan sur le site de la Route du Sable.

   

 

   
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Voici la présentation d'un évènement qui a malheureusement lieu pendant le même week-end que "Terre et Mer" à Morlaix :

"La Régate 1900 est organisée à Cenon-sur-Vienne, en amont de Châtellerault, au confluent de la Vienne et du Clain, les samedi et dimanche 29 et 30 juin 2013. Cette régate d’embarcations anciennes du canotage et des sports nautiques de la "Belle Epoque" aux années 1960 s'inscrit dans le programme d’Un Dimanche 1900, en bord de Vienne manifestation touristique organisée par le Service tourisme de la Communauté d’Agglomération du Pays Châtelleraudais dans le cadre des Jours de Vienne, ses animations estivales."

Il est à noter que cette régate patrimoine organisée par le service tourisme de la CAPC est gratuite, que les repas sont offerts et le déplacement des bateaux est remboursé forfaitairement.

Deux documents sont à télécharger pour ceux qui sont intéressés : Programme et Fiche d'Inscription.

 

Plusieurs skippers de Skerry ont très envie d'aller participer à la Fête des Canots, à Rolle sur le Léman les 17 et 18 août prochains. Ce rassemblement helvétique ajoute une très belle dose d'humour et de fantaisie au concept des rassemblements voile-aviron traditionnels.

Il semble maintenant certain qu'un co-voiturage soit en cours d'organisation. Passez-moi un mail si vous êtes intéressé. En attendant, voyez le sitre : www.fetedescanots.ch

 

Ne rangez pas encore l'agenda : avant la Fête des Canots, il y a "La Seine aux Marins", les 6 et 7 juillet prochains sur la Seine, juste en amont de Rouen. Vous trouverez tous les détails sur le site de la FVA.

         
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Tous ces superbes bateaux sont des kits de bateaux en bois à construire soi-même selon la technique du « cousu-collé », utilisant du contreplaqué, de la résine époxy et de la fibre de verre. Construire son bateau soi-même procure beaucoup de plaisir et une grande fierté. Démarrer à partir d’un kit vous facilite la tâche  : vous n’avez pas à vous soucier de trouver vous-même tous les éléments : contreplaqué, bois, résine époxy, tissu de verre, etc. Tout est "dans la boite", comme une maquette géante. Le fait que les pièces soient déjà découpées vous évite l’angoisse de l’erreur et une partie assez ingrate au début du projet. Vous hésitez à vous lancer seul : venez à notre atelier pour une "construction accompagnée". Si vous cherchez plutôt un bateau "tout fait", nous pouvons construire pour vous chacun de ces bateaux : demandez nous un devis pour votre bateau "barre en main" !

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