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Images des activités en cours à l'atelier

10/03/21
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Plus d'image de neige ou de glace cette fois-ci : l'hiver a enfin cédé la place à un printemps encore un peu timide, mais déjà la température de l'atelier est repassée à 10°C, et je finis le vernis de l'intérieur de la Yole de Chester.

 

Les sabots qui vont recevoir les pieds du portant à siège coulissant sont en place et j'ai fait les joints-congés dans les angles (rappelez-vous quand la yole était à l'envers). La trappe à joint torique du compartiment avant est posée, ainsi que le nable de celui de l'arrière, les supports de dames de nage et les petits taquets (pour les lignes de pêche à la traîne).

 

Etrange vision dans les rues de Compiègne : la Yole de Chester est chargée sur ma remorque et je suis enfin prêt à partir la livrer à Paimpol.

         
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Nous y voilà. Michel essaie son nouveau bateau. Il doit aussi se familiariser avec le système d'aviron, qu'il n'avait encore jamais pratiqué.

 

Le mouvement vient vite et la yole glisse sans peine dans l'avant-port de Paimpol.

 

Vue de trois-quarts avant : voyez comme l'eau embrasse le brion et comme les vaguelettes semblent caresser les clins...

         
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Eugène essaie la godille. A la demande de Michel, j'ai élargi le trou de godille pour le rendre fonctionnel : tel qu'il est prévu d'origine sur les plans, il n'a de rôle qu'esthétique (?), il est pas assez large pour permettre le mouvement de l'aviron. Ici, Eugène utilise un aviron de 2.70 m, les essais suivants seront plus concluants, avec un aviron de 3 m.

 

Eugène prend un coup de gite en s'installant pour ramer, ce qui nous donne cette vue inusuelle d'un profil presque complet de la yole à flot.

 

Les années d'expérience à "tirer sur le bois mort" sur toutes sortes de petits canotes permettent à Eugène de prendre immédiatement le coup avec le système à siège coulissant, qu'il n'avait jamais essayé non plus.

         
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Et c'est au tour de Gilles de découvrir l'aviron "moderne" (gast !)

  Quelques coups de pelle pour s'habituer à la longueur et à la légèreté des avirons en composite ...  

Et c'est parti !

         
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La valeur n'attend pas le nombre des années : Henri est le seul de nos essayeurs à avoir appris l'aviron. Et ça se voit sans peine sur cette image et sur la suivante : voici la "prise d'eau" et le début de la "phase d'appui", le poids du nageur est ramassé en arrière et la yole est légèrement cabrée, on voit bien le brion qui émerge...

 

Et voici le "dégagé" et le début de la "phase de replacement". Notez la différence d'assiette : ici le nageur est en extension vers l'avant et la yole "pique du nez", allongeant sa flottaison au maximum, et tirant ainsi la quintessence de l'énergie qui vient d'être appliquée sur les pelles dans la phase d'appui.

 

Changement de remorque pour la yole : la voilà qui reprend sa route vers l'ouest pour aller naviguer dans les abers !

         
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