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Voici quelques images des activités en cours à l'atelier |
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08/04/16 |
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Suite de la construction du Wood Duck 10 Seconde couche de résine époxy sur la stratification du pontage. J'ajoute une couche de tissu de verre sur le livet afin de renforcer le joint. J'ai taillé des bandes dans le biais de chutes de tissu, que je colle à travers le joint. |
Gros plan de ce renfort au niveau du joint-puzzle du pontage latéral. On voit encore la surépaisseur de tissu, sur lequel je dois encore passer 2 couches de résine afin de remplir la trame. | Autre gros plan, cette fois-ci sur l'extrémité d'un bordé du Sassafras 16, tel qu'il est livré dans le kit. On voit ici la fin de la feuillure "Lapstitch" à l'extrémité du bordé. Le décrochement doit encore être taillé en biseau sur une dizaine de centimètres afin de jouer son rôle de rablure : les bordés à clin "fusionnent" à chaque extrémité du canoë pour être bord à bord à la proue et à la poupe. | ||
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| Même extrémité de bordé après la "taille" de la rablure au papier de verre. Ce système est infiniment (enfin beaucoup, quoi !) plus simple que celui d'autres kits Lapstitch. Je pense à la Yole de Chester ou au Skerry, où la feuillure continue jusqu'au bout du bordé et il faut tailler la rablure en entier sur le côté opposé du bordé. | Pour rester dans les gros plans, voici l'autre extrémité de ce demi-bordé du Sassafras 16. Il s'agit du scarf tel qu'il est livré, taillé par la machine à commande numérique dans l'épaisseur du CP marine okoumé de 6 mm. Sur le côté droit du bordé, la feuillure Lapstitch. |
Collage des scarfs des bordés 2 et 4 du Sassafras. Le tasseau est vissé dans la table (renforcée à cet endroit) pour presser le collage à l'époxy chargée. Le marteau m'a servi à tapoter l'une des extrémités des bordés pour "fermer" le collage. | ||
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| Je passe au montage du Sassafras 16. Dès que les bordés 1 sont suturés sur la ligne de quille, je les juche sur des servantes à rouleau montées sur la table. Les rouleaux supportent la future coque le long de la suture de quille, et le tout est à une hauteur de travail confortable. Ici, le bordé 2 est suturé. On constate sur cette image que la coque du Sassafras est strictement amphidrome. | Et voici le tour du bordé 3. L'ensemble commence à être instable, c'est pourquoi j'ajoute de chaque côté une ou deux béquilles tenues avec une pince au bordé. De plus, ce support aide la coque à prendre sa forme convexe. On distingue sur la table au premier plan un des rouleaux de fil de cuivre qui sert à suturer (découper tout le rouleau en trois segments pour obtenir des morceaux à la bonne longueur.) | Le bordé 4 est en place. On voit bien sur cette image les rablures d'étrave (ou d'étambot) qui ne sont pas encore jointives : à ce stade les sutures ne sont pas très serrées car les bordés doivent pouvoir "jouer" pour que la coque prenne sa forme. On aperçoit le bordé 5 prêt au montage, après un léger ponçage sur la feuillure et les bords, bruts de découpe numérique. | ||
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| Début de suture du bordé 5 : je commence par le milieu, en progressant alternativement vers chaque extrémité. Les béquilles tiennent le bordé et la coque, de laquelle il est déjà solidaire. | Vue de la structure temporaire intérieure. Tiens, il n'y en a pas ! En effet, voici le Lapstitch dans sa superbe simplicité : les bordés sont calés précisément les uns dans les autres (grâce à leur feuillure et aux sutures) et la coque prend sa forme toute seule. Dingue ! Les taches blanches sont les étiquettes indiquant le numéro de bordé, que je n'ai pas encore enlevées. | Pour faciliter la formation sui generis de la coque, l'étrave et l'étambot seront suturés en dernier. On voit que les sutures de quille sont très peu serrées afin de permettre l'ouverture progressive de la coque. Le long de la quille, un biseau à 45° à mi-bois sur 1 mètre à partir de chaque brion vers le milieu facilite la transition de presque 90° entre le milieu et les extrémités. | ||
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| Autre vue de l'intérieur de la coque, au flash, où l'on constate de nouveau l'absence de structure interne (sans trucage !) Par curiosité, j'ai mesuré le bau maximum actuel : on est pratiquement à la cote du plan ! | Vue plongeante sur la coque suturée : 4.75 m par 0.91 m. | Vue de l'étrave (ou de l'étambot) : on voit bien la façon dont les clins s'intègrent les uns aux autres pour se retouver bord à bord. | ||
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| J'ai resserré toutes les sutures pour que tous les bordés se "calent" bien les uns dans les autres, et retourné la coque pour insérer les cloisons des coquerons d'extrémité. Le morceau de tasseau tient la coque ouverte au bau prévu. | Pendant ce temps, j'ai finalement décidé de supprimer la cloison de l'avant du cockpit du Wood Duck 10, après essayage... En effet celle-ci limitait son utilisation aux personnes à (très) courtes jambes, car le siège est nettement en avant de la cloison arrière ! Scie, meuleuse et ponceuse, sans casse ! Sur cette image, seule la scie est passée. | Fixation de la première couche de l'hiloire du Wood Duck. J'ai réussi à me limiter à 18 photos cette semaine : ça va mieux ! |
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