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Voici quelques images des activités en cours à l'atelier
08/04/10
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Suite de la construction du Wood Duck 10

J'ai fait trop de photos et je m'étale de plus en plus... J'essaie de sélectionner mais toutes me paraissent intéressantes ! Voici donc une très longue page, en espérant qu'elle vous interessera aussi. Sur cette image, la coque est suturée et je vérifie qu'elle n'est pas voilée. L'avant de la coque est attaché d'équerre, ce qui me permet de tordre l'arrière au besoin pour bien tout aligner.

  Première passe pour le collage, en pointillé entre les sutures, ainsi que le joint-congé du premier couple, normalement temporaire, mais que j'ai décidé de rendre définitif : cela fait un petit renfort à l'avant, cela évite que la coque collée ne se referme. Le plan n'impose de conserver que le couple à l'arrière du cockpit comme base pour une cloison étanche avec le compartiment arrière. Je vais en mettre une aussi à l'avant du cockpit, en complétant le second couple sous le pontage.   Les sutures ont été enlevées après que le premier collage ait durci, et j'ai repassé une seconde couche sur les joints, continue cette fois. Je viens d'ajouter une bande de tissu de verre sur tous les joints. Le gain de poids éventuel à enlever deux ou trois couples est tellement minime que les avantages dépassent largement ce seul inconvénient. C'est mon avis, et je le partage !
         
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Première passe du collage du pontage. J'ai ajouté du colorant "acajou" dans mon époxy chargée.  

Seconde passe sur le collage du pontage, la bande de tissu de verre est posée sur le joint "frais" et je vais l'imprégner de résine.

  Je viens de passer une couche d'époxy sur tout l'intérieur de la coque.
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Le pontage a lui aussi été totalement imprégné de résine, et il est prêt à assembler avec la coque.   Et hop ! Le pontage est fixé sur le haut du bordé par des sutures en fil de cuivre, et quelques bouts d'adhésif complètent la liaison. J'en ai profité pour repasser de l'époxy chargée sur les trous des sutures de la coque, la jonction du joint-puzzle, etc.   Après polymérisation, j'enlève les sutures et je complète le joint.
       
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Pesage de la coque par curiosité : on est à 11 kg, mais il faut encore stratifier tout l'extérieur, installer l'hiloire de cockpit et une foule de petits détails. Le poids prévu est à 16 kg : ça devrait le faire !   Ponçage de l'ensemble : c'est le moment où se paient les erreurs et les à-peu-près de montage. En effet, les endroits où les surfaces ne sont pas de niveau contigu voient le contreplaqué se déshabiller de son pli extérieur...   On jette un voile pudique sur ces quelques agressions visuelles !
         
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Ce serait oublier que le tissu de verre devient transparent quand il devient composite avec le bois et l'époxy : revoilà mes fautes !   On regarde ailleurs : voyez ces beaux joints-puzzle ! Ils remplacent les "scarfs" traditionnels sur la gamme de kayaks.   Après polymérisation de la stratification de la coque et coupe du tissu au ras du livet, c'est au tour du pontage. Je laisse dépasser le tissu d'une dizaine de cm pour recouvrir le joint pont-coque. J'ajouterai encore une bande de tissu de verre par dessus cette liaison.
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J'ai mis en batterie le pied de mon appareil photo pour illustrer la technique de la raclette. Je verse la résine qui est dans le verre de ma main droite et je l'étale prestement avec ma petite raclette souple, en la faisant pénétrer dans le tissu.   Sur les côtés très obliques, c'est un sport ! Il faut étaler la résine avant qu'elle ne coule dans les chaussures...   Et voilà, plus qu'à attendre que ça durcisse, puis il faudra couper le tissu pour dégager le cockpit !
         
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Pendant que ça sèche... Je fais des essais de banc fixe pour la Yole de Chester, à la demande d'un client potentiel.   Je viens de recevoir une livraison de kits, dont un Sassafras 16, que j'ai déjà ouvert au premier plan.   J'ai commencé la construction du Sassafras par le collage des deux bordés numéro 1.
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