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Challenge Naviguer Léger 2016 (bis)

Toutes les superbes photos ci-dessous ont été faites par Jean-Yves Poirier qui a eu la gentillesse de les mettre à la disposition des participants du Challenge. Je ne résiste pas au plaisir de les partager avec vous !

Pour ceux qui veulent en (sa)voir plus, j'avais déjà mis en ligne mes propres photos sur cette page.

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Le Skerry "Piff" de Jean-David, qui a dormi les 4 nuits à bord.

 

Mon Grand Skerry "Gandalf".

 

"Carpe Diem", le Biraou venu des montagnes...

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Vue de la flottille : on ne craint pas l'uniformité !

  On trouve en effet une grande variété de coques et de gréements, mais la contrainte de bien marcher à l'aviron (ou autre moyen de propulsion à énergie humaine) élimine les solutions extrêmes.
 

Pour son "Atipik", Pierre a ajouté un gréement sur une coque d'aviron.

         
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Gwendal a choisi le Creizic, le tout dernier voile-aviron dessiné par François Vivier.

 

Mon "Gandalf" est au point cette année avec sa nouvelle misaine, une coulisse amovible et de grands avirons carbone-verre.

 

Foxy Lady, concu et construit par Gilles Montaubin et armé par Gilles et son fils, il s'est révélé comme le plus rapide et le plus polyvalent.

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Le Minahouet "Pinocchio" construit et skippé par Patrick.

 

On nage en pointe sur Foxy Lady (et qui est la dame mystérieuse du bord de l'eau ?)

 

Le Youkou Lili "Hagar Dunor" a bien marché mais chaviré le dernier jour alors que son skipper Jean-Michel était en solitaire.

         
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J'ai décidé de ne pas remplir les 134 litres de ballast et j'ai trouvé le bateau largement aussi agréable que ballast plein. La perte en stabilité et inertie est compensée par l'augmentation de franc-bord et la réduction de surface mouillée.

 

Le mât de Piff se "casse" assez haut pour éviter de gêner la nage et supporter l'abri de cabanage.

 

Le gain de franc-bord sur "Gandalf" est visible ici.

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"Plénitude" a été dessiné et construit par son skipper. Bernard l'utilise pour sillonner l'estuaire de la Gironde en complète autonomie.

 

"Plénitude" s'est révélé un peu sous-toilé par rapport au reste de la flottille. C'est le second bateau à n'avoir pas terminé. Le dernier jour, Bernard a choisi de faire côte sur une plage près d'Angoulins car la mer devenait trop grosse pour poursuivre. Vous trouverez le récit de Bernard dans le "Carnet de Bord" de la FVA de juillet 2016, avec tout plein d'autres articles très intéressants.

 

 

L'Ilur "Tournepierre" d'Emmanuel Mailly, président de la Fédération Voile-Aviron.

         
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Noter de penser à ne plus s'arrêter dans le ressac sur une plage de sable et graviers... La dérive du Wayfarer "Whimbrel" est restée bloquée jusqu'à ce qu'on puisse la dégager à la scie.

 

On sort du Douhet à l'aviron : Tournepierre et le Creizic.

 

Gandalf à la plage...

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Pierre sur "Atipik" : vraiment trop dur, ce Challenge !

 

Gwendal sur le Creizic : en effet, vraiment trop dur, ce Challenge !

 

La longueur de flottaison est un élément déterminant de la vitesse d'une coque : on voit que Gilles a maximisé celle-ci sur Foxy Lady : elle est égale à la longueur hors tout.

         
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Le Monotype des Pertuis "Emjo 2", le local du Challenge. Sa surface de toile énorme par rapport au reste de la flottille nous a invariablement fait voir son tableau. Il n'y a qu'à l'aviron qu'il n'est pas franchement convaincant : trop de surface mouillée et de poids à tirer.

 

La faible largeur (1.07 m) "d'Atipik" n'empêche pas Pierre de porter de la toile à toutes les allures et ainsi d'aller très vite, grâce à sa légèreté et à la finesse de sa carène.

 

Le Wayfarer "Whimbrel". Ce type de dériveur anglais de randonnée a été mené dans des traversées spectaculaires jusqu'en Islande par des équipages qui n'ont pas froid aux yeux...

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Comme le Skerry dont il emprunte le dessin, "Gandalf" est fin à la flottaison et nettement plus large au liston, ce qui augmente sa raideur à la toile à la gîte.

 

Les plats-bords du Creizic font un bon siège pour le rappel et reculent le moment où l'eau envahira le bateau à la gîte.

 

Foxy Lady et le Creizic.

         
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La célèbre "Marie Pupuce", le premier Skerry de France. Gérard, son constructeur et skipper émérite, a coupé lui-même sa belle misaine de 7.60 m2.

 

Cette vue de 3/4 avant montre la finesse de la carène du Skerry à la flottaison.

 

Entre "La Marie Pupuce" et "Gandalf", c'est le même plan augmenté de 20% pour Gandalf : de 15 à 18 pieds de longueur hors-tout...

         
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On repart après l'arrêt de La Mortane : "Tournepierre", "La Marie Pupuce", le Creizic,et Gandalf. Au second plan on distingue "Pinocchio".
  "Emjo 2" déroule son grand génois pour le portant : à bientôt !
  "Foxy Lady".
         
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Vue générale de la flottille.   J'ai pris un ris sur "Gandalf".   "Atipik".
         
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"La Marie Pupuce" devant le Fort Louvois et le pont d'Oléron.   "Tournepierre".   "Piff" a été handicappé par sa misaine un peu petite par rapport aux autres bateaux.
         
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Les lattes verticales de la misaine de "Foxy Lady" permettent de la réduire en l'enroulant autour du mât.   Le Creizic dans le "chenal" d'entrée à Mornac au début du flot.   Gwendal se pose sur la rive de vase (surtout ne pas essayer de mettre un pied à "terre") pour affaler et continuer à l'aviron.
         
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Vue de l'intérieur du Skerry "Piff" : malgré les apparences, presque tout l'armement est rangé et arrimé, prêt pour une nouvelle journée de mer !   "Pinocchio" et "Gandalf" à l'aviron pour la sortie de Mornac au début du jusant.   Sur "Atipik", Pierre déploie des "outriggers" mobiles pour écarter ses dames de nage.
         
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Cette vue de profil "d'Hagar Dunor" montre l'importance de ses élancements avant et arrière, radicalement différents des extrémités verticales de "Foxy Lady".
  Vent contre courant sur la Seudre, Gwendal a pris un ris sur le Creizic.   Sur "Atipik" Pierre réduit par enroulement sur le mât, comme "Foxy Lady".
         
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Pierre nous fait une démo de funambulisme à haute vitesse.   Quand j'écris "haute vitesse", je ne rigole pas !   Joli bouquet de voiles lors du regroupement de l'entrée de la Seudre.
         
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On arrive au pont qui franchit la Seudre à hauteur de Ronce-les-Bains. Je garde l'écoute à la main, derrière le coinceur, afin de pouvoir la libérer et choquer dans les rafales.
  Gwendal est monté au rappel sur le Creizic.  
"Plénitude" et le Doris de François et son fils. L'an dernier, François avait naufragé en arrachant son puits de dérive en passant sur un banc de roches. Cette année, en compagnie de son fils sur son bateau réparé et amélioré, il termine avec les honneurs !
         
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Le Youjkou-Lili "Hagar Dunor".   Les petits "ailerons" de "Foxy Lady" élargissent les plats-bords pour améliorer le couple de rappel et celui des avirons en écartant les dames de nage.  
"Tournepierre" est un Ilur gréé en sloup. Le vent a souvent été trop fort pour qu'Emmanuel utilise son foc.
         
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Deux ris dans la misaine pour le Creizic.   Gwendal nous dit que le Creizic arrive à partir au planing grâce à la portance de ses sections arrière.   Le "port" de Brouage" est très pentu, et sa vase est fameuse...
         
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Foncez chez votre marchand de journaux pour acheter le Chasse-Marée N°280 en kiosque depuis le 9 septembre pour lire l'article de Gwendal : 10 pages sur le Challenge !       Et téléchargez gratuitement le Bulletin de la Fédération Voile Aviron où vous pourrez lire le récit de Bernard et tout plein d'articles passionants sur notre activité préférée (enfin, une de nos activités préférées !)
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Tous ces superbes bateaux sont des kits de bateaux en bois à construire soi-même selon la technique du « cousu-collé », utilisant du contreplaqué, de la résine époxy et de la fibre de verre. Construire son bateau soi-même procure beaucoup de plaisir et une grande fierté. Démarrer à partir d’un kit vous facilite la tâche  : vous n’avez pas à vous soucier de trouver vous-même tous les éléments : contreplaqué, bois, résine époxy, tissu de verre, etc. Tout est "dans la boite", comme une maquette géante. Le fait que les pièces soient déjà découpées vous évite l’angoisse de l’erreur et une partie assez ingrate au début du projet. Vous hésitez à vous lancer seul : venez à notre atelier pour une "construction accompagnée". Si vous cherchez plutôt un bateau "tout fait", nous pouvons construire pour vous chacun de ces bateaux : demandez nous un devis pour votre bateau "barre en main" !

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