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Construction du Cavelier d'Alain

Alain cherchait un petit bateau très léger pour être facilement transportable, avec le projet de l'équiper d'une voile comme moyen de propulsion auxilliaire. Son choix s'est porté sur le Cavelier après qu'il ait suivi sur ces pages l'expérience identique de Charles-Edouard en 2011. Charles-Edouard était venu à l'atelier pour construire son Cavelier avec moi en construction accompagnée, puis l'a terminé seul en lui ajoutant un petit gréement à misaine au tiers. Entretemps, le kit du Cavelier avait été modifié pour lui ajouter une élégante serre ajourée en frêne (copiée de ce qu'avait fait Charles-Edouard). Autre modification : l'épaisseur du contreplaqué des panneaux de coque a été réduite de 6 mm à 4 mm, et la coque est maintenant totalement stratifiée sur sa surface intérieure et extérieure. Le poids de l'esquif en est réduit de 23 kg à 18 kg et sa solidité est supérieure. Voici les images de la construction accompagnée du Cavelier d'Alain, du 2 au 7 février 2015. Ce Cavelier est donc le second exemplaire construit chez Arwen Marine, et c'est le 67e bateau tous modèles confondus, ça commence à faire une jolie flottille...

 

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Je commence par la fin, en vous montrant ces trois photos du Cavelier de Charles-Edouard. Cette première image le montre lors de son lancement, brut d'époxy, avant même la peinture et le vernis.

 

J'avais intitulé cette photo "Le Cavelier rend beau"... En fait Charles-Edouard l'a rendu beau en lui ajoutant la serre ajourée, qui ne faisait pas partie du kit en 2011, et est donc maintenant standard, en joli bois de frêne, comme les listons, le barrot central et les petits brise-lame avant et arrière.

 

Et voici le pied de mât et l'étambrai mobile ajoutés par Charles-Edouard. Le mât peut être gréé en position avant ou centrale en fonction du nombre de personnes à bord du Cavelier.

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En prévision de cette construction accompagnée, j'avais collé les joints-puzzle des demi-virures, passé une couche d'imprégnation époxy sur toutes les pièces et poncé cette couche.

 

Alain arrive ce lundi matin et nous commençons par percer les trous à travers lesquels nous allons passer les sutures de fil de cuivre qui vont nous servir à coudre les virures les unes aux autres.

 

Nous avons commencé par coudre les deux virures de fond le long de l'axe du canoë (la ligne de quille) puis nous avons cousu au milieu la cloison temporaire, qui ne sert que jusqu'au collage à aider la coque à prendre sa forme.

   

 

   
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Nous avons ensuite ajouté les virures n° 2 et nous apprêtons à continuer avec les virures n° 3.

 

La coque est juste posée sur la table, avec deux cales sous la cloison afin de la tenir proche de la verticale.

 

Chaque paire de virures est aussi cousue à chaque extrémité, sur l'étrave ou l'étambot. Le Cavelier est strictement amphidrome, c'est à dire symétrique d'avant en arrière, par rapport à la cloison temporaire centrale.

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Pour coudre les deux cloisons des compartiments étanches, le bordage doit être contraint à prendre une forme légèrement concave, et nous avons improvisé ce "chevalet" pour l'y aider.

 

Ces deux coins insérés sous le chevalet poussent le bordage sur la cloison afin de nous permettre de serrer les sutures de la cloison.

 

Nous procédons de même pour la seconde extrémité. J'ai tendance à baptiser l'une d'elle "avant" et l'autre "arrière" arbitrairement, et Alain est parfois perplexe...

         
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Et voilà le travail ! Nous avons terminé la couture de la coque, constituée de quatre virures de chaque bord.

 

Nous retournons la coque afin de serrer uniformément toutes les sutures, en particulier celles de la ligne de quille, que nous avions laissées un peu lâches afin de permettre aux virures de fond de s'ouvrir : elles sont parallèles aux extrémités et presque opposées au centre.

 

Puis nous passons à la partie " collage" de "cousu-collé" : à l'aide d'une seringue, nous déposons le long de chaque joint un cordon de résine époxy additionnée d'une charge (poudre de silice ou farine de bois) afin de l'épaissir à une consistance proche de celle de la mayonnaise.

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Le mélange de résine époxy et de charge doit être assez fluide afin de pénétrer dans les joints, mais pas trop afin de ne pas trop couler à travers ou sur l'extérieur de la coque.

 

Nous lissons ensuite l'excédent d'époxy chargée à l'aide d'un vieux ciseau à bois afin de la pousser vers l'intérieur des joints.

 

Aux extrémités, les joints sont plus ouverts que sur le reste de la coque, à cause de la contrainte exercée par les cloisons des compartiments étanches, et nous avons un "jour" de 2 à 3 mm de large, que l'époxy chargée remplit facilement. Comme en témoigne la suture ajoutée en gros fil de cuivre, nous avons tenté de réduire un peu l'ouverture des joints avant de nous résoudre à laisser subsister l'ouverture.

         
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Le lendemain, nous remettons la coque à l'endroit afin de couper toutes les sutures, sauf celles qui tiennent les cloisons des compartiments étanches, qui ne sont pas encore collées, et celles des extrémités de la coque, le long de l'étrave et/ou de l'étambot, qui sont encore fragiles car le collage extérieur ne suffit pas. Nous retournons ensuite de nouveau la coque pour extraire les sutures en les chauffant légèrement afin de les libérer de l'époxy.

 

Nous avons aussi retiré la cloison temporaire du milieu de la coque, car elle a rempli son office et nous n'en avons plus besoin. Nous l'avons remplacée par ce barrot temporaire afin de maintenir l'ouverture de la coque. Alain est occupé à coller des bandes d'adhésif de masquage style Gordini, qui vont délimiter les joints d'époxy chargée que nous allons maintenant faire sur l'intérieur de la coque.

 

Nous déposons un cordon d'époxy chargée sur le joint, entre les bandes de masquage. On voit que les deux joints du bas sont déjà lissés et les bandes de masquage sont immédiatement enlevées.

   

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Les joints sont lissés à l'aide d'un vieux ciseau à bois, puis l'excédent d'époxy chargée qui s'est déposé sur l'adhésif de masquage est ramassé et les bandes sont immédiatement enlevées, avant que l'époxy commence à durcir.

 

Et voilà, net et sans bavures ! Nous avons fait dans la foulée les joints-congés des cloisons des compartiments étanches, intérieur, puis extérieur. Nous avons aussi fait les joints à l'intérieur des compartiments étanches, mais sans bande de masquage car ils seront invisibles.

 

Nous laissons les joints durcir pendant trois heures puis mettons en place le tissu de verre que nous allons stratifier sur la surface intérieure du compartiment central. Ce tissu de 120 cm de large couvre normalement toute la surface, mais la pièce que l'on voit ici ne fait que 100 cm de large, et une partie du carreau reste nue (ouh !)

         
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La résine époxy est appliquée au rouleau sur le tissu de verre, qu'elle rend transparent en le collant à la surface du contreplaqué et des joints.

 

Comme à chaque fois, je suis bluffé par ce tissu qui devient invisible ! Notez que nous avons utilisé de petits bouts d'adhésif pour tenir le haut du tissu de verre en attendant qu'il soit saturé d'époxy et que l'adhésif puisse être enlevé.

 

Stratification terminée, il ne reste qu'à couper le tissu de verre excédentaire qui dépasse encore au quatre coins du compartiment central.

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Nous laissons durcir l'époxy pendant deux à trois heures, puis nous appliquons une seconde couche d'époxy "mouillé sur mouillé" afin de remplir la trame du tissu de verre. Notez les bouts d'adhésif d'emballage que nous avons mis sur les bouts du barrot temporaire afin qu'il ne soit pas collé par l'époxy. En effet, l'époxy n'adhère pratiquement pas sur les surfaces lisses et souples.

 

Le mercredi matin, troisième jour, nous instaurons une nouvelle activité matinale : le ponçage ! Le beau soleil matinal compense difficilement la température glaciale (au sens propre)... Notez au passage les "ergots" d'époxy qui restent sur les joints extérieurs aux endroits où étaient les sutures : tout cela sera lissé au ponçage que nous ferons demain.

 

Et le ponçage est invariablement suivi par un dépoussiérage à l'aspirateur, qui sera suivi par un coup de chiffon humide.

   

 

   
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Cette photo en contrejour artistique (?) montre les deux arcs formés par les lisières du tissu de verre sur le carreau. Nous les avons partiellement "effacées" à la ponceuse, mais elles seront presque invisibles sous la serre ajourée.

 

Nous avons ouvert au cutter, puis à la ponceuse les quelques petites bulles qui se sont formées le long des joints trop "nets". Ces petits vides seront remplis par la dernière couche d'époxy que nous allons bientôt appliquer.

 

Nous rentrons au chaud pour décider le la distribution des cales de la serre ajourée, et coller celles-ci.

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Nous avons utilisé un durcisseur rapide pour l'époxy de collage des cales, et deux heures plus tard, nous pouvons enlever les pinces et présenter la serre.

 

Nous avons recoupé le barrot central et allons le coller en même temps que les serres.

 

Après avoir coupé les serres à la bonne longueur, nous les collons, de même que le barrot central et les couvercles des deux caissons étanches, qui s'insèrent dans une encoche en haut du carreau.

         
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Nous avons utilisé une paire des longues cales fournies dans le kit pour appuyer les extrémités du barrot sur l'intérieur du carreau.

 

Le barrot est aussi tenu par deux vis inox à chaque extrémité. Comme on le voit sous la vis de gauche, nous avions commencé par percer un peu bas car nous n'avions pas tenu compte de l'inclinaison du carreau. Notez les deux petits trous jumeaux au-dessus des vis, ils ont servi à la suture du haut de la cloison temporaire et seront cachés par le liston que nous allons bientôt coller.

 

Jeudi matin, nous procédons à la séance de ponçage, maintenant quotidienne, sur l'extérieur de la coque. En effet, nous avons maintenant terminé le travail sur l'intérieur de la coque, sauf une dernière couche d'époxy que nous appliquerons demain.

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Comme à chaque fois, nous terminons le ponçage par un dépoussiérage au chiffon humide, qui a suivi le coup d'aspirateur.

 

Retour au chaud pour gratter les excédents d'époxy durcie sous la serre et ses cales. Nous avons calé la coque sur la tranche afin de pouvoir atteindre le dessous de la serre. Elle est sécurisée par une patte d'oie accrochée à une solive.

 

Nous mettons ensuite la coque à l'envers afin de boucher les trous des sutures sur l'extérieur et retoucher les joints.

   

 

   
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Gros plan sur des trous de sutures bouchés. Les deux paires de trous alignés verticalement, à gauche et à droite de la photo, sont des trous de couture des virures, et les deux paires alignées horizontalement au centre sont des sutures de l'une des cloisons.

 

Nous avons extrait toutes les sutures sauf celles des cloisons des compartiments étanches, qui étaient prises dans les joints-congés des deux cotés de ces cloisons, et donc très difficiles à extraire. Nous les avons donc coupées au ras de la surface et poncées. On distingue parfaitement le bout des sutures en fil de cuivre dans ces quatre trous.

 

Nous terminons la journée en collant les listons. Leurs extrémités sont un peu compliquées à presser car le couvercle des compartiments étanches empêche de mettre des pinces ou des presses, et le contreplaqué des virures est un peu fin pour mettre des vis. Nous pouvons visser les extrémités des listons car nous avions collé des cales dans les deux pointes afin de pouvoir visser des ferrures d'amarrage sur le pontage, et nous positionnons des sangles entre les vis et les presses. Les grosses cales permettent d'éviter que les sangles fassent descendre les listons.

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Là où ne nous sommes pas génés par le pontage, nous utilisons un mix de presses et de pinces pour presser le collage du liston.

 

Vendredi matin, je passe un petit coup de décapeur thermique pour ramollir et gratter les petites coutures d'époxy sous les listons. Comme on l'imagine, il vaut mieux passer vite afin d'éviter de brûler la surface du contreplaqué.

 

Puis nous sortons le Cavelier pour nous adonner sans retenue à notre activité matinale favorite. Il s'agit tout d'abord de faire disparaitre les excédents d'époxy éventuels sur les bouchages des trous des sutures et les retouches des joints.

         
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Nous sortons ensuite la ponceuse à bande afin d'araser les bouchons des vis des listons et finir en arrondi leurs extrémités.

 

Comme quoi le ponçage est aussi un sport d'hiver (il fait -3°C), et on ne craint pas les avalanches !

 

Et voilà le résultat.

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Nous terminons avec une petit arrondi sur le dessus, des pointes afin de rattrapper l'arrondi de l'arête des listons, que nous avions fait à la défonceuse équipée de la fraise en quart de rond.

 

Mais il manque des images d'un épisode plein de violence et d'émotion. En effet, en fin de ponçage et alors que nous étions tous les deux rentrés chercher l'aspirateur et le seau d'eau pour dépoussiérer, le vent a soulevé le Cavelier et l'a jeté au sol. L'impact a abîmé le brion de l'une des extrémités, que nous avons du remodeler en le rabotant sur une dizaine de mm et en le remastiquant à l'époxy chargée. Cette photo est prise entre les deux opérations et on voit bien que l'époxy du joint-congé de l'intérieur du brion n'était pas descendue assez loin, laissant sunsister une fragilité. Finalement, on s'en tire bien, mais il faut se rappeler qu'il y a des risques insoupçonnés à poncer en plein air (à part le froid, bien sûr)...

 

Nous collons ensuite les deux petits "brise-lames" des extrémités, qui sont en frêne comme le barrot central, les serres et les listons. En plus de l'époxy, ils sont tenus par deux vis inox, que nous avons bouchonnées. Nous venons aussi de passer la dernière couche d'époxy sur l'intérieur.

   

 

   
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Puis nous retournons la coque afin de stratifier la surface extérieure. La pièce de tissu fait 120 cm de large, et nous avons pile-poil de quoi atteindre le haut du carreau sur chaque bord.

 

Comme pour la stratification intérieure, nous utilisons des rouleaux pour saturer d'époxy le tissu de verre.

 

Aux extrémités, nous fendons le tissu jusqu'à mi-longueur du brion, nous coupons l'excédent en laissant un "rabat" de 3 cm de chaque coté (pas encore fait sur cette photo).

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Puis nous soulevons l'un des cotés pour coller le rabat en-dessous, et recollons le second rabat par-dessus.

 

Nous collons ensuite par-dessus une bande de renfort d'un mètre de long.

 

Nous terminons en saturant ces bandes de renfort et en coupant l'excédent de tissu de verre sous le liston.

         
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Nous laissons durcir l'époxy pendant une à deux heures, puis passons au rouleau une seconde couche "mouillé sur mouillé" pour remplir la trame du tissu de verre.

 

Cette photo montre les joints-puzzle de jonction des demi-virures.

 

Gros plan sur le petit "brise-lames" de l'un des caissons étanches, dont nous venons de couper et d'arrondir les extrémités.

         
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Nous attaquons le ponçage de la stratification, dont une des difficultés est "d'effacer" les bords de la bande de renfort de l'étrave ou de l'étambot.

 

Dernière couche d'époxy sur l'extérieur de la coque.

 

Terminé barre et machines !

         
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Essayage du chariot alu Nautiraid. Sa "béquille" lui permet de tenir debout en attendant que l'on pose le canoë. Une fois posé sur les deux traverses, celui-ci relève légèrement le chariot comme on le voit sur cette image.

 

Pour les longs portages, il faudra prévoir d'ajouter une ou deux sangles pour tenir le canoë sur le chariot, car la friction des "pads" des traverses ne suffira pas.

 

Et hop ! En route pour de nouvelles aventures !


Tous ces superbes bateaux sont des kits de bateaux en bois à construire soi-même selon la technique du « cousu-collé », utilisant du contreplaqué, de la résine époxy et de la fibre de verre. Construire son bateau soi-même procure beaucoup de plaisir et une grande fierté. Démarrer à partir d’un kit vous facilite la tâche  : vous n’avez pas à vous soucier de trouver vous-même tous les éléments : contreplaqué, bois, résine époxy, tissu de verre, etc. Tout est "dans la boite", comme une maquette géante. Le fait que les pièces soient déjà découpées vous évite l’angoisse de l’erreur et une partie assez ingrate au début du projet. Vous hésitez à vous lancer seul : venez à notre atelier pour une "construction accompagnée". Si vous cherchez plutôt un bateau "tout fait", nous pouvons construire pour vous chacun de ces bateaux : demandez nous un devis pour votre bateau "barre en main" !

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